Patricia Decroix (1)

CSMD

Au départ, j’étais à la recherche d’une activité en lien avec un questionnement. Pour diverses raisons, je ne m’étais pas autorisée à découvrir la sophrologie pour mon bien-être, mon équilibre. Les années ont passées, un problème de santé, mon médecin de famille me conseille la sophrologie. J’ai pris un 1er contact avec la relaxation de Jacobson, le training autogène de Schultz … Là, commence une réelle démarche qui m’amène à la Sophrologie Caycédienne. Après vérification, auprès de différents professionnels de la santé pour m’enlever certains doutes, craintes. Je me lance dans l’aventure et décide de vivre pleinement l’expérience. Je réalise la richesse de cette méthode. Les champs d’application sont tellement larges et répondent aux critères de l’évolution de notre société. Avec un stress et une pression constante où l’exigence, la performance sont-elles qu’elles viennent nuire à l’équilibre des individus. Ce qui m’a également séduit, c’est que la sophrologie est laïque et apolitique est permet une rencontre authentique dans le respect et les besoins de chacun. Je rappelle que la sophrologie est une relation d’adulte à adulte, son principal objectif est d’accompagner les personnes pour qu’elles deviennent libres, responsables et dignes. S’épanouir, c’est vivre avec son temps, ne pas subir ou s’exclure de notre famille, notre entourage, de notre société pour tels ou tels critères, mais au contraire, être dans l’harmonie, s’adapter et vivre pleinement dans notre ère qui est la notre. C’est pour cela que la sophrologie a tout son sens, car sa technique correspond à nos valeurs, à nos besoins. On ne peut pas maitriser ou contrôler les facteurs extérieurs «perturbateurs ». En revanche, on peut apprendre à poser un regard différent sur les évènements.

La Sophrologie, discipline non médicale, ne remplace en aucun cas un suivi médical et ne se substitue pas non plus à un traitement prescrit par un médecin.