Indispensable au fonctionnement du corps, le cholestérol est une graisse fabriquée aux deux tiers par le foie et apportée pour un tiers par l'alimentation. C’est un des composants de nos cellules et il intervient comme protecteur des agressions extérieures et dans la synthèse de certaines hormones. Certaines Lipoprotéines à haute densité connues sous le nom de "bon cholestérol", récupèrent le cholestérol en excès dans le sang et le ramènent au foie où il est transformé avant d'être éliminé. D'autres, de basse intensité (LDL) transportent le cholestérol du foie vers toutes les cellules. Quand les LDL fonctionnent mal ou sont en excès, le taux de cholestérol dans le sang augmente. Le cholestérol s'accumule et forme des plaques qui peu à peu bouchent les artères.
Le cholestérol serait le facteur le plus important d’infarctus ou d’accident vasculaire cérébral, avant l’hypertension, le surpoids ou l’excès de stress. La question est d'autant plus épineuse qu'il faut savoir faire la part entre trop de mauvais cholestérol et pas suffisamment de bon cholestérol.
Les principales causes de l'augmentation du "mauvais cholestérol" sont principalement de mauvaises habitudes alimentaires, mais aussi le stress, et certaines prédispositions génétiques, et des médicaments. De plus la consommation d'alcool, la sédentarité qui entraîne le surpoids sont des facteurs importants.
Enfin, il est bon de se rappeler que certains médicaments dans ce domaine n'ont pas eu de bons résultats. Ainsi, en août 2001, une classe de médicaments anti-cholestérol à base de statines avait provoqué des atteintes fatales et avait été retirée du marché. Certains médicaments de même type sont utilisés par 3 millions de Français...
Des traitements naturels, principalement diététiques, peuvent remédier à ces problèmes.
Le "mauvais» cholestérol" (produits d'origine animale riches en acides gras saturés) - Régime inadapté trop riche en graisses animales - Certains médicaments (diurétiques, corticoïdes…) - Manque d'exercices physiques - Obésité - Consommation d'alcool - Stress
Le diététicien saura vous guider pour mettre en place un régime ad hoc : Consommer de préférence des graisses végétales poly-insaturées et mono-insaturées (tournesol, maïs, soja, colza, noix, olive, pépins de raisin), tenir compte des 14 aliments ou plantes qui aident à faire diminuer le taux de "mauvais" cholestérol", notamment les fruits et les légumes qui rassasient tout en apportant des micronutriments - vitamines, minéraux, oligo-éléments, fibres - essentiels à l'organisme. Sans oublier les acides gras insaturés oméga 6 et oméga 3 en bonnes quantités. De plus un régime alimentaire équilibré réduit les risques inflammatoires et renforce l'immunité. Ces mesures hygiéno-diététiques ont une efficacité au bout d'environ un mois de suivi.
Le naturothérapeute saura aussi vous conseiller sur l'action de la phytothérapie sur le cholestérol. De nombreuses plantes (soja, artichaut, bouleau, camomille …) peuvent contribuer à mieux éliminer le cholestérol en agissant sur le métabolisme des lipides et à normaliser la cholestérolémie. Il saura vous prescrire les produits spécialisés de phytothérapie et des compléments alimentaires, sous forme de comprimés ou de gélules qui facilitent la prise de ces plantes en évitant les oublis et les désagréments.
Par des choix alimentaires judicieux, un nutrithérapeute aide à maintenir un taux de cholestérol équilibré, réduisant ainsi les risques associés.
Le nutrithérapeute combine une expertise approfondie en nutrition avec une compréhension empathique de vos besoins individuels. En utilisant des stratégies nutritionnelles personnalisées, des suppléments ciblés et des conseils diététiques avisés, il vous aide à rééquilibrer votre alimentation, à optimiser votre bien-être et à prévenir certaines maladies. Le nutrithérapeute vous accompagne à chaque étape de votre parcours de vitalité, que ce soit pour gérer des conditions chroniques, améliorer votre énergie ou atteindre vos objectifs bien-être globale.
Le diabète, annoncé comme l'épidémie silencieuse du XXIe siècle ne cesse d’augmenter en France. Le surpoids, la sédentarité, le tabagisme ou l'alcoolisme comptent parmi les facteurs de risque de développer un diabète de type II. Les pratiques complémentaires offrent une aide précieuse, que ce soit pour apprendre à gérer le stress ou réduire les conséquences de la maladie grâce à un régime adapté.
Lorsque l’on mange, la nourriture transite normalement par l'œsophage avant de se rendre vers l'estomac. Dans certains cas, les sucs gastriques de l'estomac remontent vers l'œsophage et provoquent ainsi une inflammation. Le phénomène provoque une sensation de brûlure au niveau de la partie inférieure de la poitrine.