Le SIDA, ou syndrome d'immunodéficience acquise, est une maladie virale provoquée le VIH. La personne atteinte, si elle n'est pas traitée ni accompagnée peut décéder des suites de maladies opportunistes. Il existe néanmoins des traitements pour ralentir l’évolution de la maladie vers le stade Sida, notamment les trithérapies.
150 000 personnes environ seraient atteintes en France (source Onusida). 6 000 et 7 000 nouveaux cas sont dépistés chaque année. Même si de nombreux progrès ont été réalisés dans le traitement de la maladie, pour autant, les troubles occasionnés continuent d’affecter profondément leur vie quotidienne, qu'il s'agisse des aspects psychologiques, sociaux ou des effets secondaires des traitements.
Grâce aux trithérapies, les patients vont mieux sur le plan physique, mais pas forcément du point de vue psychologique. Si le SIDA est en passe de devenir une maladie chronique, il ne sera jamais une maladie comme les autres, à cause de la représentation que nous en avons et des problèmes psycho-sociaux qu'il amène, depuis le stress et l'anxiété, la peur du rejet, de la discrimination, jusqu'aux relations parfois difficiles avec des proches, qu'il s'agisse d'un partenaire sexuel, d'un conjoint, d'un ami ou d’un membre de la famille.
Le SIDA, ou syndrome d'immunodéficience acquise, est une maladie virale provoquée le VIH. La personne atteinte, si elle n'est pas traitée ni accompagnée peut décéder des suites de maladies opportunistes. Il existe néanmoins des traitements pour ralentir l’évolution de la maladie vers le stade Sida, notamment les trithérapies.
150 000 personnes environ seraient atteintes en France (source Onusida). 6 000 et 7 000 nouveaux cas sont dépistés chaque année. Même si de nombreux progrès ont été réalisés dans le traitement de la maladie, pour autant, les troubles occasionnés continuent d’affecter profondément leur vie quotidienne, qu'il s'agisse des aspects psychologiques, sociaux ou des effets secondaires des traitements.
Grâce aux trithérapies, les patients vont mieux sur le plan physique, mais pas forcément du point de vue psychologique. Si le SIDA est en passe de devenir une maladie chronique, il ne sera jamais une maladie comme les autres, à cause de la représentation que nous en avons et des problèmes psycho-sociaux qu'il amène, depuis le stress et l'anxiété, la peur du rejet, de la discrimination, jusqu'aux relations parfois difficiles avec des proches, qu'il s'agisse d'un partenaire sexuel, d'un conjoint, d'un ami ou d’un membre de la famille.
Cet aspect est fondamental dans la vie des malades. Au tout début, avec une préparation psychologique au traitement, qui doit passer par l'acceptation de soi, la gestion de l'entourage affectif et des conditions de vie. Mais aussi en ce qui concerne le traitement lui-même, les difficultés d'organiser sa vie autour, la dépression, l'anxiété, les problèmes éventuels de toxicomanie, la gestion du stress, des chocs psychologiques, des changements dans la situation sociale (précarisation, marginalité) et professionnelle, sans oublier les problématiques dans les relations sexuelles. Faire appel à un psychologue voire un psychothérapeute est indispensable. Les Thérapies cognitivo-comportementales peuvent aussi apporter un soutien appréciable.
L'hypnose, par le biais d’exercices d’imagerie mentale, et ses fonctions hypnoanalgésiques, permet de lutter contre la douleur, et notamment, contre la peur de la douleur. Elle aide pour mieux gérer les effets indésirables des traitements comme les nausées, les vertiges, la fatigue, les insomnies, le manque ou l'absence d'appétit. Les personnes atteintes de SIDA voient ainsi s'améliorer leur qualité de vie au quotidien.
À l'instar de l'hypnose, la sophrologie est un bon moyen pour les personnes atteintes de SIDA d'apprendre à gérer leur anxiété, la peur, les stress divers apportés par le traitement et la vie sociale liée à la maladie, tels que les sentiments négatifs et les problématiques d'image soi. De même, les exercices d'imagerie mentale permettent d'accompagner l'administration de médicaments, la stimulation du système immunitaire, mais aussi de consolider leur motivation et la confiance en soi.
La question de la prise de poids sous trithérapie n'est pas simple. Vous le savez, la trithérapie améliore l'état nutritionnel et augmente l'appétit. La disparition des troubles buccaux et intestinaux a comme conséquence la plupart du temps une reprise de poids. Il est alors nécessaire de rééquilibrer son alimentation, mais il est parfois difficile de gérer seul ce changement. C'est pourquoi il est recommandé de demander conseil à un diététicien. Ce dernier réalisera une enquête alimentaire, la calculera, évaluera vos besoins et corrigera s'il y a lieu les carences. Les conseils diététiques ont aussi pour but de diminuer le taux de triglycérides et de cholestérol sanguins. L'utilisation des plantes en naturopathie aurait aussi donné de bons résultats. Enfin, plusieurs études menées au Canada notamment, ont montré que les pratiques d'Ostéopathie, de Chiropraxie, de Réflexologie, pouvaient apporter une aide précieuse pour alléger la douleur et augmenter la relaxation physique des malades. De même en est-il du Yoga et du Qi-Gong. Sur l'ensemble des personnes interrogées, 50 % ont indiqué utiliser conjointement deux thérapies ou plus et un quart a indiqué utiliser plus de 6 thérapies.
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