Gildas Launay

non vérifié

Titulaire d’un DEA de Sciences Politiques ainsi que d’une licence de lettres et de philosophie, j’ai exercé pendant plus de 20 ans dans le domaine de la presse puis de la communication. J’ai également enseigné à Sciences PO Paris en Master 2.

En parallèle, j’ai mené des études à l’Institut Freudien de Psychanalyse Paris (IFPP) ainsi qu’une psychanalyse didactique.

Ma pratique est d’inspiration Freudienne et s’appuie aussi sur mes diverses expériences passées.
Je reçois en cabinet à Paris 11ème, 9 rue Jean Macé, des personnes de tous horizons, notamment :

Les jeunes adultes en quête de sens, souvent confrontés à des périodes de stress, d’angoisse diffuse ou de perte de repères. Winnicott a montré combien l’identité se construit dans un équilibre fragile entre notre monde intérieur et les attentes extérieures. La psychanalyse offre ici un espace où chacun peut penser librement son désir et sa singularité.

Les publics LGBTQIA+, qui peuvent être confrontés à des angoisses identitaires ou au poids des projections sociales. La psychanalyse propose ici un cadre sans jugement pour explorer ces enjeux et se réapproprier son histoire.

Les personnes en souffrance au travail, confrontées à un stress chronique, un burn-out ou un sentiment de vide. Lorsqu’un mal-être professionnel persiste, il révèle souvent des conflits plus anciens, liés à l’image de soi, aux exigences intériorisées ou aux relations d’autorité. os premières expériences influencent notre rapport aux figures de pouvoir et aux attentes sociales.

Les patients insatisfaits des thérapies brèves, qui ressentent que la seule gestion des symptômes ne suffit pas à traiter en profondeur les angoisses et la dépression. La psychanalyse ne vise pas seulement à soulager une souffrance immédiate, mais à comprendre ce qui l’a rendue si envahissante.

Les personnes issues de cultures éloignées de la psychanalyse, parfois marquées par des injonctions au silence face à la souffrance psychique. Pourtant, comme l’a souligné Freud, ce qui ne peut s’exprimer par la parole s’exprime autrement – dans le corps, dans les symptômes, dans les répétitions de scénarios douloureux.

Les seniors confrontés aux ruptures de la vie, où la dépression peut parfois masquer une angoisse plus profonde liée à la perte, à la solitude ou à la réévaluation du passé. Winnicott insistait sur l’importance d’un environnement permettant de se penser autrement : dans l’analyse, cette relecture du passé devient possible.

Si vous le souhaitez , vous pouvez me contacter au 06 51 03 25 78 ou launaygilda@gmail.com